Jeudi 9 novembre 2023, 15 personnes se sont retrouvées à Gray pour une visite de la Basilique, de l’hôtel de ville et de son théâtre un petit bijou à l’italienne.
Responsable : Dominique BELIN 06 71 40 27 74
CHÂTEAU DE BOURNEL A CUBRY | 1/2 journée | 19/09/2024 |
MUSEES CHAMPLITTE | JOURNEE | 17/10/2024 |
LUXEUIL/DAVAL ET BRASSERIE | 1/2 journée | 14/11/2024 |
ARCHIVES DEPARTEMENTALES VESOUL | 1/2 journée | 12/12/2024 |
CONTEUSE (SALLE DU FAL) | SOIREE | 16/01/2025 |
MUSEE DU TEMPS BESANCON | 1/2 journée | 06/02/2025 |
VANNERIE A FAHY BILLOT Reportée au | 1/2 journée | 18/09/2025 |
DOLE LA VILLE ET SES HOTELS PARTICULIERS | JOURNEE | 17/04/2025 |
MALANS ILE ART ET LONGEVELLE APICULTEUR | JOURNEE | 15/05/2025 |
ECOMUSEE DU TEXTILE A WESSERLING | JOURNEE | 12/06/2025 |
Installées dans des bâtiments construits spécialement pour elles, rue Miroudot Saint-Ferjeux à Vesoul, les Archives départementales de la Haute-Saône ont pour missions de collecter, classer, conserver et communiquer les documents présentant un intérêt pour l’histoire du département, de ses habitants et de ses territoires. Elles conservent plus de 18,8 kilomètres linéaires de documents du Xe siècle à nos jours, provenant de la Préfecture, des services du Département, des communes, des tribunaux, des notaires et d’autres administrations publiques. On y trouve également les archives des abbayes d’Ancien Régime nationalisées à la Révolution, des fonds d’archives privées donnés par des entreprises locales ou des particuliers haut-saônois, la presse locale, une bibliothèque historique et administrative, etc.
Les Archives départementales sont créées sous la Révolution française (Loi du 5 brumaire an V – 26 octobre 1796). D’abord placées sous l’autorité du préfet, elles dépendent depuis 1986 du Département. Actuellement, le service compte 15 agents dont 1 fonctionnaire de l’Etat, le directeur Vincent Boully. Ce fonctionnement hybride (collectivité départementale / Etat) est justifié par le contrôle scientifique et technique que le directeur des Archives départementales exerce sur l’ensemble des archives publiques dans le ressort du département, dont celles des communes et intercommunalités.
Déroulé de la visite
Accueillis par Morgane Guillemin, médiatrice du patrimoine, le Foyer d’animations et de loisirs d’Echenoz-la-Méline a pu découvrir le bâtiment des archives, les missions et des documents originaux.
En salle de tri, en présence de trois archivistes, les membres du FAL ont pu observer leur mission fondamentale : le classement. Ils ont pu échanger sur la méthode, le mode d’entrée des documents d’archives, les types de documents présents dans les fonds, observer des documents originaux, etc. Dans les magasins, le groupe a fait la découverte des conditions de conservation mises en place pour préserver les documents d’archives. Pour finir, une visite de l’exposition « Aux urnes, citoyens et citoyennes ! » leur a été proposée. Ce moment a permis de découvrir la programmation culturelle des Archives départementales (exposition, conférence, visite) et l’accueil du public scolaire du primaire au lycée dans le cadre de visite ou atelier.
Le FAL est allé à Luxeuil pour un moment plein de gourmandises à la découverte de la fabrication du jambon artisanal de Luxeuil et des secrets du brassage de la bière luxovienne.
Le jambon cru de Luxeuil a bien failli disparaître !
À partir de 2017, les réflexions sont lancées entre les acteurs du secteur pour un plan de sauvegarde du jambon de Luxeuil. En effet, l'arrêt de la production par l'industriel Bazin en 2018 accélère l'urgence de relancer le produit.
Dans un premier temps, nous nous sommes rendus dans le séchoir de la boucherie Daval pour découvrir les secrets du fameux jambon. Les porcs sont issus soit de la ferme Menigoz ou de la filière Porcs de Franche Comté selon le cahier des charges. La fabrication se décline en 4 étapes :
- Le salage opération très importante et délicate qui consiste à masser le jambon avec du vin rouge (le trousseau) et un mélange sel et épices.
- Le fumage à froid (bois issu de la scierie de Citers)
- Le séchage qui commence par un pré-séchage dit dynamique (la température et l’hygrométrie y est contrôlée) pendant environ 3 mois. La maturation du jambon est prolongée dans un autre séchoir dit statique pendant encore 8 à 9 mois.
- Au terme des précédentes opérations le jambon est lavé, désossé et moulé.
Il est produit environ 3000 jambons par an.
Cette visite s'est terminée par une dégustation de cet excellent jambon artisanal.
Aujourd'hui, une belle dynamique s'est créée autour de ce produit savoureux et haut de gamme. Il est désormais monnaie courante de le trouver sur les étals des boucheries-charcuteries et à la carte des restaurants de la région !
Puis nous avons traversé la rue pour découvrir la Brasserie Luxovienne. Pierre nous a accueilli dans sa salle de brassage attenante à son bar. C’est ici qu’il exerce son art comme un alchimiste pour créer de délicieuses bières. Un vrai passionné que l’on pourrait appeler Merlin le brasseur, toujours à l’affût des malts, des houblons, des épices qui rendent sont nectar subtil et unique.
Nous avons terminé cette visite confortablement installé dans le bar où Pierre nous a fait goûter ses différentes bières (blonde, blanche, ambrée, noire ou IPA). Un très bel endroit à la décoration chaleureuse et conviviale. Il est possible aussi d’y manger (plat du jour, frites maison ou croque) ou encore y prendre une planche apéritive (fromage ou charcuterie).
Pour les gourmands, vous pouvez retrouver le jambon de Luxeuil à Noidans Lès Vesoul chez Chaumartin et la bière uniquement à la Brasserie Luxovienne ou à l’Intermarché de Luxeuil.
Le FAL s’est rendu à Champlitte pour découvrir ou redécouvrir les deux musées départementaux Albert et Félice Demard. Le premier musée d’Arts et Traditions est situé dans le château, il renferme une riche collection retraçant la vie rurale d’autrefois sans oublier l’histoire de ces chanitois partis au Mexique. Le deuxième musée des Arts et Techniques a été créé en 1992 et retrace la révolution industrielle en Haute Saône. Jean Christophe Demard leur fils a poursuivi le travail de ses parents en consolidant les relations avec le Mexique : Jicaltepec et San Rafael, il a également revitalisé la fête de la Saint Vincent (patron des vignerons). Un grand merci à eux qui ont su avec persévérances et clairvoyance sauver tous ces objets de l’oubli. A découvrir le Musée de la Montagne à Château-Lambert initié également par Albert Demard.
C’est un groupe de 20 personnes qui a pu découvrir cet immense domaine, propriété du Marquis de Moustier, vieille famille franc-comtoise qui tire son origine du petit village du Doubs, Mouthier-Hautepierre. Le domaine de Bournel appartient depuis plus de 5 siècles à la même famille.
Installé sur une propriété de 80 hectares, il est composé de 2 châteaux, un datant du XVIIIème siècle, un second de style néogothique construit au milieu du XIXème siècle (architecte Clément Parent) et une chapelle.
Le parc à l’anglaise ceinturant le « Château Neuf » offre un golf de 18 trous.
Le parc et les jardins se composent de terrasses, d’un jardin à la française délimité par des allées de buis, d’un potager qui a conservé toutes ses structures anciennes : grotte, bassins, allées couvertes d’espalier, gloriette. L’ensemble a reçu le label « jardin remarquable ».
La visite s’est terminée dans la cour du Vieux Château lequel offre hôtel et restaurant.
Un bel après-midi découverte de ce site remarquable.
Samedi 22 juin 2024, 29 personnes ont participé à la visite de la Saline Royale d’Arc et Senans.
Inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1982, la Saline Royale est le chef-d’œuvre de Claude Nicolas Ledoux (1736-1806) architecte visionnaire.
Conçue en demi-cercle et épousant les lignes d’un amphithéâtre antique, l’architecture de la Saline obéit à un double symbolisme : d’une part celui du pouvoir directorial, placé au centre des rayons rien n’échappe à SA surveillance et d’autre part celui du regroupement de la communauté de travail, des ouvriers et de leur famille autour des foyers, ateliers et jardins.
Après ces premières explications quant à l’architecture de la Saline, le guide a conduit le groupe en différentes pièces de la Saline pour expliquer aux visiteurs l’histoire du sel.
Alimentée en eau salée depuis les sources de Salins grâce à un système de doubles canalisations en bois, qui a nécessité plus de 15000 fûts d’épicéas pour sa construction. Dès les premières années d’exploitation les tuyaux de bois sont peu à peu remplacés par des tuyaux de fonte moins fragiles.
Au travers de 6 salles différentes, sur plus de 500 m², l’exposition présente tous les aspects du sel, depuis sa production jusqu’à sa consommation à travers tous les continents.
Après ces 2 visites guidées, commentées par un jeune guide fort intéressant, chacun a pu :
• parcourir librement les 30 jardins de la Saline, imaginés, sur 13 hectares comme une suite d’ambiances végétale. Le thème cette année est « ombre et fraîcheur ».
• parcourir l’exposition temporaire consacrée au photographe animalier Vincent Munier, auteur du film « La panthère des neiges » en 2021. A l’image du loup, Vincent Munier a l’art de se mouvoir sans se faire voir, il se fond dans le temps ; tout est suspendu au mouvement de l’animal sauvage, à la confrontation « œil pour œil » pour un émerveillement éternel.
Un après-midi très enrichissant.
Un grand merci à tous les participants tout au long de cette saison culturelle et nous auront plaisir à vous retrouver en septembre pour d’autres visites.
Bonnes vacances.
En ce jeudi 2 mai 2024 très pluvieux donc propice à la visite de musée, c’est un groupe de 15 personnes qui s’est rendu à Fougerolles capitale du Kirsch. Entouré d’un verger conservatoire, l’Ecomusée est situé dans un ancien domaine de distillateurs des années 1830, inscrit au Monuments Historiques. A travers ces bâtiments et tous ces objets, c’est un bel hommage rendu à ces hommes et femmes qui ont contribués à la renommée de ce petit village franc comtois. La production de Kirsch de Fougerolles reste confidentielle avec 35000 litres d’eau-de-vie produits annuellement. Une toute petite AOC, l’une des plus petites de France.
Nous ne pouvions pas terminer cette visite sans faire une dégustation à l’institut de la Griottine des établissements Peureux, une des 4 dernière distillerie.
C'est sous une météo très fraiche que le groupe de 45 participants a suivi la visite guidée des vieux quartiers de cette magnifique ville.
Construite en 1609 pour le compte du marchand Anton Burger, la maison des Têtes est attribuée à l'architecte Albert Schmidt. La maison des Têtes, bel édifice de la Renaissance allemande, doit son nom au 106 têtes ou masques grotesques qui ornent une riche façade sur laquelle s'élève un oriel de trois étages. Le pignon de l'édifice décoré de volutes et l'ailerons, est surmonté de la statue d'un Tonnelier (1902), œuvre d'Auguste Bartholdi qui répondait à une commande de la Bourse au vins qui s'était installée dans l'immeuble en 1898. La maison des Têtes a été l'objet d'une restauration en 2012 et abrite actuellement un hôtel de luxe 5 étoiles et un restaurant.
Au cœur du vieux Colmar, la maison natale d'Auguste Bartholdi (1834-1904) abrite sur trois niveaux le musée consacré à cet artiste emblématique du XIXe siècle. Sculptures, peintures, dessins et photographies. Dans la cour est érigé le groupe monumental en bronze "Les grands Soutiens du monde" (1902). On lui doit la statue de "La liberté éclairant le monde" et proche de nous le "Lion de Belfort".
La maison Pfister fut construite en 1537 pour le compte du chapelier Ludwig Scherer qui avait fait fortune avec le commerce d'argent dans le Val de Liepvre. Malgré ses caractéristiques médiévales, elle est le premier exemple de la Renaissance architecturale à Colmar. Avec son oriel d'angle à 2 étages, sa galerie en bois, sa tourelle octogonale et ses peintures murales qui représentent des scènes bibliques et profanes, la maison Pfister est devenue un des symboles du vieux Colmar. Elle doit son nom à la famille qui la restaura et l'occupa de 1841 à 1892. La façade et la toiture de cet édifice ont été restaurées en 2012.
La Collégiale Saint Martin construite de 1235 à 1365 est une œuvre majeure de l'architecture gothique en Alsace. L'église a connu quelques campagnes de restauration dont la dernière, achevée en 1982, a permis de trouver les fondations d'une église de l'an mil ainsi que des traces d'agrandissements successifs aux XI et XII siècles. Les Colmariens considèrent depuis longtemps la collégiale Saint Martin comme leur cathédrale, traduction directe de l'allemand "Münster". En réalité, la collégiale Saint Martin ne fut une véritable cathédrale que durant une dizaine d'année.
Le Koïfhus ou ancienne douane, cet édifice public de style gothique et Renaissance entrepris en 1480 fut jadis le centre économique et politique de la ville. Son rez-de-chaussée servit durant plusieurs siècles d'entrepôt, de marché et de centre douanier. Il constitue un superbe témoin de l'activité commerciale d'une ville à la convergence des routes qui menaient d'Italie en Flandres et du Danube en Champagne.
L'après-midi libre, à permis à tous de flâner dans les rues décorées aux couleurs du printemps, de découvrir ou redécouvrir le très beau quartier de la petite Venise (nom donné au cours de la Lauch) ou de visiter un des nombreux musée (musée Unterlinden, Bartholdi, Hansi, du jouet...)
C'est les bras chargés des spécialités alsaciennes, kouglof et bretzels par exemple que nous avons regagné notre bus.
Un grand merci à tous pour votre participation et à très bientôt pour d'autres aventures.
C’est avec un beau soleil printanier que 19 personnes se sont rendues à Ronchamp pour visiter la chapelle de Notre Dame Du Haut.
Au Moyen Age, un sanctuaire dédié à la Vierge adossé à une petite chapelle comtoise est construit sur les ruines du temple romain.
A la révolution en 1789 la chapelle devient Bien National, puis en 1799 fut rachetée par les habitants du village et depuis le sommet de la colline est un site privé. Il y a eu plusieurs reconstructions mais après la destruction de la chapelle en 1944, les propriétaires décident de la reconstruire dans un style moderne et font appel à l’architecte LE CORBUSIER.
Le chantier débute en 1953 et sera inauguré le 25 juin 1955. C’est un phare blanc en pleine nature qui attire le pèlerin en route. Des symboles tirés de la nature (fleurs, oiseaux . . .) glorifient la vierge Marie dans la chapelle.
En plan, tous les murs sont courbes. Les trois tours le sont également. Ces formes sont issues de la Nature. Le Corbusier s'est inspiré du dessin d'une carapace de crabe pour concevoir le toit. De plus, l'édifice se veut en harmonie avec le paysage vallonné des Vosges : les courbes de la chapelle répondent aux collines environnantes. La possibilité d'organiser de grandes messes en plein air participe de cette communion avec la nature. Les courbes sont également présentes à l'intérieur : le sol est incurvé.
La pyramide de la paix est commandée par les anciens combattants de Ronchamp qui souhaitent rendre hommage à leurs frères d’armes morts sur la colline en 1944. Les pierres de l’ancienne chapelle ont servi à sa construction.
En 1965 la chapelle sera classée aux Monuments historiques
En 1975, Jean PROUVE réalise un campanile sous forme d'un portique en acier supportant trois cloches. Les deux plus grosses viennent de l'ancienne chapelle.
Le site de Ronchamp a évolué. Une nouvelle porterie, dessinée par l'architecte italien Renzo PIANO, a remplacé l'ancien édifice. Le même architecte a dessiné de nouveaux bâtiments en contrebas de la chapelle pour loger la fraternité des sœurs clarisses de Besançon venue s’établir à Ronchamp en 2009.
En 2016 la chapelle fut inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO.
Des travaux de rénovation du béton et de blanchiment des façades ont commencé en mars 2022 à l'initiative de l’association Œuvre Notre-Dame-du-Haut et la Fondation du Patrimoine.
Jeudi 18 janvier 2024 à 20h la conférence sur « les 500 ans de commerce à Vesoul » a réuni une soixantaine de personnes. Elle était animée par Yannick Denoix qui a captivé l’assemblée et nous a fait découvrir au fil des siècles l’évolution des commerces et l’importance de Vesoul dans le département. Les années 1960 n’ont pas manqué à susciter un vif intérêt et à réveiller des souvenirs aux Vésuliennes et Vésuliens présents dans la salle. Des échanges se sont poursuivis à la fin de la conférence autour d’un verre de l’amitié. Merci aux bénévoles et à la mairie pour la mise à disposition de la salle.
La Presse de Vesoul du 25/01/24
Le Foyer d'animation et de loisirs, l'une des deux plus grosses associations mélinoises
qui comprend des activités sportives et de détente, est aussi une section culturelle dynamique. « Nous sommes six personnes, six femmes qui travaillent à l'élaboration d'un calendrier culturel
pour l'association, au rythme d'un rendez-vous par mois excepté juillet août. Les membres s'occupent d'au moins une activité dans l'année du début à la fin. Nous nous entendons très bien ainsi
et l'ambiance est très bonne », explique Dominique Belin, responsable culture du FAL. Spectacle, visite guidée de musée, sortie nature ou encore conférence, c'est autour de ces quatre thématiques
que s'organise le calendrier.
Jeudi dernier, c'est en face du guide conférencier Yannick Denoix, que les soixante-six
inscrits ont été attentifs. Un franc succès puisqu'à l'origine, la conférence devait avoir lieu dans les locaux de l'association mais au regard du nombre d'inscrits, c'est à la maison commune que
tout ce petit monde s'est retrouvé. Pendant une heure trente, le Vésulien a su tenir son auditoire en haleine sur le thème « 500 ans de commerce à Vesoul ». Le prochain grand rendez-vous de
l'association sera un repas organisé par la section animation, et ouvert à tous, au restaurant chez Berthe à Seveux. Là encore, presque une institution.
Les activités du FAL : atelier informatique, théâtre, organisation d'un
vide-greniers, gestion de la bibliothèque municipale, activité jeux de société, actions pour le Téléthon ... Information et réservation du repas Chez Berthe à Seveux-Mote: Michel Belin au
07 85 14 20 90 ou belindommi@ hotmail.fr
C'est dans la bonne humeur que le groupe de 24 personnes s'est rendu au Restaurant Cabaret la Gabiotte de Fougerolles. Nous avons assisté à un époustouflant spectacle de la part de ces 5 artistes transformistes. Ils nous ont enchantés à travers leurs multiples imitations en passant par Dalida, La Zarra, Sylvie Vartan, Johnny Hallyday, Nana Mouskouri, Anastacia, Grégrory Lemarchal, Lady Gaga, Michèle Torr, Régine, Vanessa Paradis, Zaz, Céline Dion et nous ont bluffés en reprenant des sketchs des Bodins, Elie Kakou et Mado la Niçoise. Sans oublier bien sur les incontournables chansons de cabaret. La qualité des costumes n'était pas non plus en reste, ils sont choisis par les artistes et renouvelés à chaque spectacle. Nous avons pu aussi apprécier le repas servi par les artistes eux même en costumes. Vous n'aurez pas de photos du spectacle nous n'avons pas été autorisé à en prendre. Pour le découvrir il ne vous reste plus qu'à vous y rendre. Nous vous le recommandons et le final vous réservera quelques belles surprises !
Jeudi 9 novembre 2023, 15 personnes se sont retrouvées à Gray pour une visite de la Basilique, de l’hôtel de ville et de son théâtre un petit bijou à l’italienne.
Le théâtre fut construit entre 1846 et 1849 d’après les plans de l’architecte bisontin Jean-Baptiste Martin, également architecte du théâtre de Dole. D’une capacité de 600 places à sa construction, il comprend actuellement 200 places. Il a été rouvert en 2006 après 10 années de restauration.
La scène a conservé l'essentiel de sa machinerie d'origine.
Les caractéristiques du théâtre à l’italienne sont une disposition en fer à cheval, un plafond rayonnant illustré de muses, de bacchantes et en son centre un imposant lustre, une scène légèrement en pente et la salle en contre-pente. Toutes les illustrations et peintures en trompe l’œil, sont en papier, tissus, bois. Cette richesse contraste avec la sobriété extérieure.
L'hôtel de ville est un des plus beaux bâtiments de la Renaissance en Franche-Comté. Érigée de 1567 à 1572, la façade principale, longue d’environ 37 m, comporte deux travées rythmées par des colonnes corinthiennes et composites superposées en marbre rouge de Sampans (Jura). Elle s’ouvre sur la place par neuf arcades en plein cintre. Au centre se trouvent les armes et la devise de la ville : « Triplex victoria flammis » (par trois fois victorieuse des flammes). Le toit est recouvert de tuiles vernissées polychrome de tradition bourguignonne. De par et d'autre du bâtiment ont été ajoutées au XIXe siècle deux fontaines décorées de sculptures à gauche celle du peintre François Devosge et à droite celle de Jean-Baptiste Romé de l'Isle, tous deux natifs de Gray. Sur la façade côté ouest se trouve un cadran solaire gravé et peint sur les pierres.
La visite s’est achevée à la Basilique Notre Dame. La première pierre a été posée en 1478 et fut achevée en 1559. L’église a été élevée en 1948 au rang de basilique de par la présence dans ses chapelles latérales d’une petite statuette miraculeuse de Notre Dame de Gray et de la relique du cœur de Saint Pierre Fourier. La verrière centrale, haute de 15 mètres, dessine un arbre de Jessé. La cuve de la chaire à prêcher en pierre locale qu'on peut retrouver également sur la chaire de l'église de Pesmes. Le magnifique orgue du facteur bisontin Claude Valentin (1726) achevé par Riepp de Dijon.
Visite riche, en compagnie d’une guide conférencière passionnée, passionnante et qui a transmis son savoir avec de belles touches d’humour.
Un bel après-midi.
Ce show floral unique en Europe qui se déroule chaque année début octobre a ravi les 45 participants à cette sortie. L'exposition est éco responsable puisque 100% des végétaux sont soit réutilisés ou compostés. Une grande diversité de végétaux ont été utilisé pour composer les différents décors en passant par la savane, le jardin potager, les massifs ou bien encore le tissage floral. Cette journée a été une grande réussite où chacun et chacune a pu l'apprécier à son rythme.
C’est un groupe de 22 personnes qui s’est lancé à la découverte du village d’Anjeux à travers son église, son histoire de sorcellerie et de sa magnifique source du Planey.
En traversant le village nous avons fait une halte à la fontaine abreuvoir et lavoir datant du 19ème siècle puis à la bascule qui a été conservée dans son état originel. Nous avons poursuivi jusqu’à son église Saint Rémi d’Anjeux très atypique dont le clocher seul du 15ème siècle subsiste. Le porche très sobre est surmonté d’un visage tricéphale coiffé d’une mitre. Le cimetière qui entourait autrefois l’église a été déplacé. Elle est classée aux monuments historiques pour son clocher, son chemin de croix et son baptistaire. En son centre on peut observer sur la clé de voûte 3 lapins symbole de la trinité. Au 19ème siècle deux chapelles ont été érigées de part et d’autre de la nef. Les vitraux très endommagés ont été remplacés en 1998 par des vitraux contemporains, ils ont été dessinés par Pierre Bassard et fabriqués par Ch. Cartignies et M. Liéby.
De 1627 à 1632 Anjeux a été très touché par les procès de sorcellerie (estimé à ¼ de la population victime ou délateur). On retrouve des traces de ces procès particulièrement dans tout le nord de la Franche Comté (baillage d’Amont). Henri Goguet auteur d’un livre sur la sorcellerie à cette époque a largement contribué à son développement. Les peines encourues pour les condamnés allaient de la simple repentance, bannissement ou jusqu’au bûcher. On a dénombré à cette époque jusqu’à 170 procès dans le territoire même les enfants n’ont pas été épargné. Cette période noire a eu un lourd impact économique et social sur toute la population qui subira peu de temps après une épidémie de rage.
Pour clore la visite nous nous sommes rendus à la source du Planey qui est une résurgence de type vauclusienne d’une profondeur de 32 mètres pour 185 mètres de galeries explorées. Le débit de la source régulier a été évalué à 1.51 m3 par seconde et l’eau est chargée en sels, en carbonate de calcium et surtout en magnésium. Elle coule toute l’année à une température constante de 11°C. Sa splendide couleur bleu turquoise caractéristique change au gré de la luminosité, elle est due à la présence de fer très peu oxydé de la couche marneuse recouvrant la roche. Elle a été autrefois dans les heures sombres de la sorcellerie considérée comme lieu où se déroulait des cérémonies appelées Sabbat. De nombreux circuits pédestre passent à proximité alors n’hésitez pas à les empreinter.
Un groupe de 13 personnes emmenées par la section culturelle du FAL a effectué la visite de la ferme BIO de THEY ce mercredi 7 juin 2023. Nous avons été accueillis par M. Michel DEVILLAIRS , gérant, qui a retracé l’historique de l’entreprise.
En 1984, M. DEVILLAIRS s’installe à THEY avec le désir et la volonté de développer des activités sans produits chimiques, sans pesticides et surtout de rendre son entreprise autonome en énergie. Il est rejoint par sa femme et ses quatre enfants. L’entreprise compte aujourd’hui dix salariés.
La ferme compte à ce jour 300 bovins, vaches laitières et allaitantes, 200 porcs avec une maternité, des chevaux, un élevage de poulets et poules pondeuses, un élevage de pintades et un de lapins. Tous les animaux vivent en semi liberté. L’insémination est réalisée de manière naturelle pour tous.
Les activités d’élevages sont complétées par une production végétale : blé ancien, orge, épeautre, pommes de terre. L’entreprise produit sa propre farine.
L’ensemble de la production est conditionnée sur place. Une partie est vendue en direct dans le magasin.
Les besoins en énergie et en eau sont assurés par :
- La fabrication de biogaz par méthanisation avec matière organique des animaux, déchets de céréales et déchets verts.
- La production d’électricité par panneaux photovoltaïques. Le surplus est revendu à EDF.
- L’eau puisée et recyclée sur le domaine est régulièrement contrôlée pour un usage domestique.
En complément des activités de la ferme un gite écologique rénové avec des matériaux naturels (pierre, bois local, chanvre, laine de mouton, …) est à louer avec une capacité de 24 couchages. Il bénéficie d’un accès à une piscine écologique avec traitement sans chlore.
La visite se termine sous les tilleuls avec un excellent goûter préparé par madame DEVILLAIRS à l’aide des produits de la ferme. Ils sont complétés par des beignets faits maison. Avant de partir chaque participant en profite pour faire ses achats de produits dans le magasin attenant.
Jeudi 4 mai, 36 personnes ont découvert différents sites de la ville d'Epinal, au travers du Musée de l'Image, d'une balade en train touristique et visite guidée du Centre historique.
Le musée de l'image est riche de plus de 100000 images populaires, du 17ème siècle à aujourd'hui. Elles racontent des techniques, des usages, des croyances, des manières de penser qui ne sont plus les nôtres.
Les visiteurs ont pu découvrir les 2 expositions temporaires :
Le groupe a ensuite partagé un excellent repas au restaurant "Le Bagatelle", situé sur la petite île d'Epinal, entre deux bras de la Moselle. Un moment très convivial
Après s'être restauré, le départ est donné pour 1h de visite à bord du petit train touristique à la découverte de l'architecture de la ville et des secrets d'histoire, sans oublier la visite de l'Eglise Notre Dame au Cierge et ses vitraux somptueux
A la descente du train, un guide attendait les visiteurs pour les emmener à travers le centre historique d'Epinal : la basilique, la place des Vosges, le quartier du chapitre des chanoinesses avec ses maisons coloniales et leurs façades colorées, l'emplacement de l'ancien cloître et le musée du chapitre.
Une belle journée, ensoleillée de surcroît, pleine de découvertes surprenantes de cette ville riche d'histoire.
Yannick Denoix nous a fait voyager à travers les siècles et nous avons pu découvrir l’architecture des nombreux châteaux de la Haute Saône. En passant par les plus connus comme par exemple Ray sur Saône, Oricourt, Filain, Champlitte ou Gy et sans oublier les moins connus comme celui de La Rochelle, Beaujeu, Vregille ou Boulot. Certains sont visitables donc n’hésitez pas.
Cette riche conférence s’est clôturée autour d’un pot de l’amitié.
Etant donné le succès remporté, nous envisageons de renouveler cette opération en octobre ou novembre sur un autre thème.
C’est un groupe de 31 personnes qui a répondu présent pour visiter la chocolaterie ‘’ LE CRIOLLO ‘’ à CHALEZEULE.
Nous avons été accueillis chaleureusement par Laurine qui nous a fait un bref résumé de cette entreprise qui est devenue en quelques années une institution pour tous les amoureux du chocolat. Créée en 2001 elle est dirigée aujourd’hui par Isabelle Blateyron.
Cette entreprise est composée d’une quinzaine d’employés plus quelques intérimaires dans les périodes plus particulières telles que Pâques et Noël.
Nous avons commencé la visite par la projection d’un film sur l’histoire du chocolat et l’évolution des traditions. Nous avons pu découvrir une cabosse de cacao qui est garnie d’environ 40 fèves lesquelles sont fermentées, séchées, torréfiées, broyées et malaxées afin d’obtenir le beurre de cacao à partir duquel on peut faire du chocolat en ajoutant du sucre, du lait ou autre suivant les différents chocolats voulus.
Après une dégustation très appréciée de tous, nous avons pu découvrir les gestes précis des artisans chocolatiers et les différentes étapes de la fabrication.
Bien sûr passage par le magasin où chacun et chacune a pu faire ses achats pour régaler ses papilles.
Nous avons passé un bon après-midi dans la joie et la bonne humeur, les bienfaits du chocolat ?
Quelques photos souvenirs au cours de cette joyeuse journée. L'esprit de Noël était bien présent
Et les 45 participants ont pu profiter chacun à son rythme de ce lieu féerique. A renouveler peut être plus en fin de journée pour profiter les illuminations.
C’est un groupe de 13 personnes qui s’est rendu à GY pour la visite du château qui est un des monuments les plus anciens de la commune.
Il fut la demeure des archevêques de Besançon pendant plus de 700 ans.
Il a été détruit à de nombreuses reprises. La partie centrale fut reconstruite entre 1498 et 1502 par l’Archevêque François De Busleiden avec une superbe tour octogonale et c’est au cours du XVIII siècle que le cardinal De Choisel fit construire 2 ailes qui lui donnent son aspect actuel.
A la révolution, le château fut vendu et divisé en 11 lots. De 1850 à 1876 la partie centrale fut transformée en école et ensuite en collège qui fermera ses portes en 1974.
Aujourd’hui le château est une propriété privée.
Le rez de chaussée transformé en musée avec différentes salles (salle de chasse, salle des coffres, salle à manger, chambre du cardinal De Choisel) ainsi que les caves du château peuvent se visiter.
Ensuite nous avons pu visiter l’église qui étonne tant par sa modernité que par sa simplicité et sa luminosité.
C’est un édifice de type basilical et l’ancienne tour clocher du XVII siècle est raccordée à la nef.
Après-midi très enrichissant malgré la pluie qui nous a empêché de poursuivre la visite du bourg pour y découvrir les vieilles demeures.
Emmenés par Charline, guide de l'Office de Tourisme de Luxeuil, un groupe de 18 personnes a pu visiter ce jeudi le site remarquable de l'Ecclésia et quelques uns des 17 monuments et bâtiments classés de la ville de Luxeuil.
L'Ecclesia, ou comment assembler deux mille ans d'histoire.
En 2008 les archéologues ont exhumé les vestiges d'une église funéraire du VIème siècle appartenant à l'un des monastères les plus importants d'Europe, mais aussi la crypte de Saint Valbert, abbé parmi les plus influents après Saint Colomban, ainsi que plus de 150 sarcophages.
Un voyage qui va de l'époque gallo-romaine en passant par le Moyen Age et la Renaissance.
Un patrimoine exceptionnel présenté dans un écrin architectural contemporain.
La visite s'est poursuivie devant la Tour des Echevins, construite au XVème siècle par la famille Jouffroy et aujourd'hui l'un des plus vieux musées de France.
Si vous avez le courage de monter à son sommet (146 marches !) vous aurez alors une vue imprenable sur la ville de Luxeuil
En se retournant, le groupe a pu admirer la Maison du Cardinal Jouffroy, aujourd'hui propriété privée.
L'après midi s'est achevé par la visite de la Basilique Saint Pierre et Saint Paul, classée au titre des monuments historiques depuis 1846.
Chacun a pu admirer entre autres :
Malgré la météo un peu grise,un bel après midi très enrichissant;
C’est avec un groupe de 23 personnes que nous sommes partis à la découverte de Malans (petit village de Haute Saône) et de son Ile Art. Un voyage visuel et sonore au cœur de la nature qui nous invite à cheminer au milieu des œuvres d’art, des installations et des sculptures contemporaines de 25 artistes européens. Ce lieu est accessible gratuitement tous les jours de 9h à 19h. Pour l’occasion nous étions accompagnés de la présidente de l’association Ile Art, Arlette Maréchal et également d’un artiste Denis Pérez auteur de la sculpture Duo. Ils nous ont fait partager leurs connaissances en toute simplicité. Malheureusement la pluie s’est invitée pendant la visite que nous avons dû interrompre avec grand regret.
Ci-dessous l’artiste et son œuvre.
Pour en savoir plus consultez le site : ileart-sculptures.com
Après cet épisode humide nous avons pu nous réchauffer au restaurant Les Jardins Gourmands à Pesmes dans une ambiance conviviale et pleine de bonne humeur.
En début d’après midi nous avons poursuivi nos pérégrinations (sous un soleil timide). Visite de Pesmes avec Nicole guide conférencière qui nous a fait découvrir ce joli bourg, son château et ses remparts, les portes Loigerot et Saint Hilaire, ses belles demeures de notable comme l’hôtel Châteaurouillard, l’église Saint Hilaire ainsi que des maisons vigneronnes qui évoquent le passé viticole du village qui a compté jusqu’à 200 hectares de vignoble. Bâtie sur son rocher dominant l’Ognon cette cité médiévale a été classée Cité de Caractère de Bourgogne Franche Comté.
Dans un ancien moulin datant de 1815, Michel ADAM, maroquinier depuis 1974, a plusieurs cordes à son arc : la maroquinerie d'art, la vannerie, la formation des jeunes au CAP cellier-maroquinier, la production d'énergie verte solaire et hydro-électrique qui alimente les ateliers.
Il propose aussi des chambres et des tables d'hôtes.
En maroquinerie, les cuirs qu'il utilise sont des cuirs de bovins pleine fleur, différents de la croûte (sous couche du cuir).
Les pièces sont déjà tannées, travaillées avec des machines performantes telles que découpeuse, coupe bandes, presse, poinçonneuse, graveuse en relief.
Les finitions soignées restent l'apanage de la création artisanale.
La boutique présente une collection de ceintures (de 36cm à 160 cm), porte monnaie, porte cartes, sacs, sabots, et même de la confiture maison.
Encore une visite qui mérite d'être connue !
Un petit train a conduit le groupe de visiteurs dans la ville de Plombières : ville de 1600 habitants qui vit du tourisme et du thermalisme. Depuis 2000 ans, les Romains ont capté les sources (de 57° à 80°) aux propriétés exceptionnelles.
Napoléon III y a laissé son empreinte : le parc impérial, les thermes, de nombreux hôtels, l'ancien hôpital et l'église.
L'après-midi s'est poursuivie par la visite des Etablissements Devoille à Fougerolles et notamment le jardin de la fée verte ; on y cultive l'absinthe et d'autres plantes vivaces qui entrent dans la composition de cet alcool (réglisse, angélique, fenouil, menthe poivrée...). Un chalot de 1850 sert à sécher les différentes plantes avant leur macération et la distillation. 1200 bonbonnes où vieillissent les alcools reposent dans le grenier.
Une dégustation a clôturé la visite.
Le petit train et l'hôtel Napoléon à Plombières.
A Fougerolles, présentation des plantes utilisées pour l'absinthe, un chalot utilisé pour sécher les plantes et les bonbonnes d'eau de vie en vieillissement dans le grenier.
Un groupe de 29 personnes a pu se rendre au musée, via la ligne régulière du bus Vesoul/Besançon, pour participer à la découverte.
Le bâtiment qui abrite les oeuvres était à l'origine (19ème siècle) une halle aux grains mais très vite est devenu un lieu d'exposition. Il a été enrichi par des donations comme celle de la famille de Granvelle.
En 1970 il a subi de grandes transformations intérieures tout en béton, puis rénové entre 2014-2018 pour apporter plus de lumière zénithale et apporter plus d'espace.
Nous avons pu découvrir :
N'hésitez pas à venir découvrir ce musée qui propose des parcours adaptés aux enfants, des visites guidées personnalisables et une accessibilité aux personnes à mobilité réduite (mise à disposition également, gratuitement, de siège pliable).
Entrée gratuite le 1er dimanche de chaque mois.
Une cinquantaine de personnes ont répondu à l'invitation du FAL pour assister à la conférence sur la maladie de Lyme. L'association LYMPACT, par la voix de sa conférencière Mme ROITEL, a sensibilisé le public à la dangerosité de ces petites bêtes.
La prolifération des tiques est due au dérèglement climatique, à l'augmentation des populations, des gibiers proches des habitations, à la régression de certains prédateurs des tiques (lézards, grenouilles), au développement des loisirs nature.
Une piqûre de tique peut transmettre des bactéries, des virus et des parasites (la babésiose). Elle provoque une large variété de symptômes qui peuvent se manifester tardivement. Les tests sanguins sont fiables de 30 à 40 %. Seules 45 % des tiques sont contaminantes.
Mme Roitel a ensuite exposé les gestes et précautions ,à prendre pour éviter d'être mordu :
A l'issue de l'exposé de la conférencière (1h environ) un débat s'est installé où chacun a pu poser ses questions, exposer son cas personnel.
L'ensemble des personnes présentes s'est montré très satisfait de cette conférence.
Le Theâtre Edwige Feuillère de Vesoul, dispose d'une salle de spectacle de 700 places, dont 250 au balcon panoramique, et d'une scène de 350 m2. De petits spectacles sont accueillis en scène "colombine" d'une jauge de 120 places.
Le bâtiment datant de 1977, a été inauguré sous le nom de "Théatre Edwige Feuillère" par l'actrice elle même en janvier 1983.
Le Théâtre est fort d'une équipe de 17 personnes, ce qui semble peu au regard de l'organisation, parfois dantesque, d'un spectacle, pour environ 120 représentations annuelles.
Des artistes de renommée nationale et même internationale sont accueillis au Théâtre. 2 évènements culturels notables figurent au programme chaque année, à savoir : Le Festival Jacques Brel et le mois Voix d'Enfants.
Les personnes présentes lors de la découverte des coulisses ont pu visiter l'ancienne cabine de projection, l'arrière scène avec son imposant plafond de rails support d'imposants projecteurs entre autres, l'atelier, les loges.
Une visite très intéressante qui apportera un regard neuf aux personnes présentes lors des prochains spectacles.
L'ancienne cabine de projection ; L'imposant plafond de rails ; Une infime partie de l'espace de stockage et ses projecteurs ; une loge
La maison de la Négritude à Champagney a fêté ses 50 ans.
Louis XVI afin de préparer les Etats Généraux ordonne de rédiger des cahiers de doléances.
En 1789, les habitants de Champagney, sous la houlette de Monsieur Priqueler, demandent dans l'article 29 la fin de l' esclavage : <<Faire des esclaves des sujets utiles au roi et à la
patrie>>
C'est toute l' histoire de la traite des humains qui est retracée : achat de nègres contre des marchandises, traversée en bateau dans des conditions effroyables, travail dans les
plantations....
Des personnages comme l'abbé Grégoire, Victor Schoelcher ont lutté contre l'esclavage qui a été aboli en 1848.
Il subsiste de nos jours un esclavage moderne : travail forcé,exploitation sexuelle,mendicité forcée, esclavage domestique...Le sujet est toujours d'actualité.
Après cette visite les participants ont découvert quelques sites remarquables : église, demeures du XVII et XVIII à travers une balade dans la commune.
L' entreprise RLK à Combeaufontaine est une société ancienne reprise en 2015 par Madame et Monsieur Brie.
Entreprise familiale avec des techniciens possédant une longue expérience dans le domaine de la menuiserie aluminium.
Fabricant et installateur spécialisé dans les volets, fenêtres, portes, vérandas et pergolas.
Les visiteurs ont pu voir l'atelier de stockage matériaux et coupe avec du matériel performant notamment une scie numérique à 2 têtes et l'atelier de fabrication avec les tables de montage et la zone poinçonnage, et le show room avec les innovations.
Une entreprise à taille humaine, innovante et travaillant avec des partenaires régionaux.
Encore une découverte du savoir-faire haut-saônois.